Edito

De mon passé de journaliste, j'ai gardé le goût des investigations et des découvertes. Je connais bien la ville de Vienne qui vit à l'ombre de Lyon mais qui, pourtant, est d'une richesse passée et présente. Ce sont mes découvertes à Vienne et dans le pays viennois que je veux partager sur ce blog mais aussi mes coups de cœur ou mes coups de gueule.

La ligne est ouverte pour que vous fassiez aussi les chroniqueurs.

Hélène Lancey Martel

samedi 14 novembre 2015

Bon sang de bon sang ! Mais oui "Sang d'encre"

Bon sang ne saurait mentir...dit-on... et dis-je, à propos des 21 èmes journées autour des littératures policières: "Sang d'encre".
Chapeau déjà aux organisateurs au premier rang desquels la MJC de Vienne et François Joly.
21 ans c'était autrefois la majorité. Et bien disons qu'avec "Sang d'encre" ça l'est toujours. 
D'abord une date et un lieu: les 21 et 22 novembre à la salle des fêtes de Vienne place de Miremont.
Pour quoi faire ? Rencontrer des auteurs, acheter leurs livres, les faire dédicacer et profiter du parcours proposé par Yab (un must: ah ! ce fauteuil qu'on se trimballe depuis la création de "Sang d'Encre"...)

"Spectre": un 007 ou rien !

Alors ce dernier James Bond ? Eh bien, près de 2h30 qu'on ne voit pas passer. Il faut dire que le réalisateur Sam Mendes, n'est pas n'importe qui (on lui doit, entre autres, "American Beauty").
Depuis "Casino Royale" et, surtout "Skyfall", depuis Daniel Craig dans le rôle de James Bond, fini les James Bond girls sans intérêt, exit l'absence de psychologie. Au rencart la guerre froide.
Certains critiques pinaillent un peu: "Spectre" moins profond que "Skyfall" avec des acteurs moins marquants. Je suis en partie d'accord. Javier Bardem était le top du méchant ambivalent, notamment. 
Mais "Spectre" est un très bon film. Monica Bellucci crève l'écran et Léa Seydoux joue à merveille un personnage complexe. Est-ce une bombe ? Je laisse aux hommes le soin d'en juger. en tout cas côté jeu elle est parfaite.
Mais là n'est pas le fond du débat qui est de savoir si on revient après "Skyfall" avec un 007 "classique".  

Stéphane a le cuir .... souple!

Attention Stéphane ne sera plus sur le marché de Vienne que samedi prochain et celui d'après. Après il file sur Quimper pour revenir théoriquement en début d'année.
Le stand de ce forain est cours Romestang à droite en partant de la place de Miremont (après un ou deux autres forains). 
Son truc: le cuir d'Italie ... supermode. Des sacs, des chaussures mais aussi à l'occasion des écharpes ou des leggings avec laine.
Un stand incontournable pour les Viennoises qui veulent s'offrir du cuir de qualité pas cher.
Ses sacs vont de 23 à 95 €. Pour 23 € un sac en daim à franges dont rêvent toutes les jeunes filles.
Et toujours des formes élégantes qui rappellent Bocage, Stella Mac Cartney avec ses chaînes ou encore Michael Kors pour les plus sobres.
Prix maximum pour un sac tout cuir 95 €. Pour ce prix vous aurez un accessoire en cuir vieilli, multipoches.
On craque aussi pour ses bottes et bottines, tout cuir, stylées et portables à n'importe quel âge. Les cavalières sont à 80 € et les bottines à 60. Il faut compter le double voire le triple pour la même qualité dans un magasin. 
Avec Stéphane on fait à chaque fois un bon coup. 
Évidemment, il est hyper-sympa et, si l'on s'avère bon client, ne renâcle jamais pour une petite remise.
Un conseil: allez-y de la part d'Hélène, ça ne pourra que faire du bien à votre porte-monnaie. 
  

dimanche 8 novembre 2015

Les Amphis et Lucioles: un mariage en or !

Ian Levison
J'ai l'habitude de dire qu'un film primé à Cannes... Vous connaissez la suite.
Nouvelle habitude: un film réalisé par celui qui a fait la saison deux d'"Engrenages", "Reporters" et "Les Beaux Mecs" ne peut pas être mauvais. A la vérité, les seriemaniacs, comme moi, sont du genre à se précipiter au cinéma.
Tout ça pour dire qu'on a pu voir, aux Amphis, en avant-première, le premier long métrage de Gilles Bannier, "Arrêtez-moi là" avec Reda Kateb (le film sort début décembre). L'adaptation du livre éponyme de Iain Levison (auteur américain) invité de la librairie Lucioles, le même jour.




mercredi 4 novembre 2015

"Le fils de Saul": un grand film sur la Shoah

Comme je le dis toujours, un film primé à Cannes, ne peut jamais être un mauvais film. Et parfois, c'est un chef-d’œuvre. C'est le cas, pour moi, de "Le Fils de Saul" qui a obtenu le Grand Prix du Jury.
Et c'est un premier film, signé Laszlo Nemes.
Quel premier film ! 
On est en 1944 à Auschwitz, Saul est un prisonnier juif chargé de mener aux chambres à gaz les autres juifs, de brûler leurs corps et de jeter leurs cendres.
Sur son visage, la fatalité. Au-delà de la révolte (qui pourtant se fait jour chez d'autres juifs du camp à ce moment de l'histoire bien précis), au-delà du sentiment...
Jusqu'au jour où, un enfant juif survit au gazage, avant d'être étranglé par un soldat allemand. Son fils né avant son mariage avec son épouse, elle aussi prisonnière ? Ou un simple lien de filiation qu'il crée ?

"Nous trois ou rien": Quand la drôlerie fait passer un joli message

Chers bloggers, pardonnez-moi, mais je n'ai jamais regardé "Bref" et ne connait donc pas Kheiron. Mais, de ce pas, je vais combler cette lacune car son film "Nous trois ou rien" est, tout simplement, délicieux et plus sérieux qu'il n'y parait.
Attention, le film se la joue très parodique, mais avec une drôlerie particulièrement bienvenue.
Tout commence sous le règne du Shah, en Iran. Notre héros est un avocat qui n'a pas eu le temps de pratiquer et, est un opposant au régime. Direct, la case prison. Les mollahs arrivent au pouvoir et rien ne s'arrange pour ce défenseur de la démocratie si ce n'est qu'il trouve la femme de sa vie (jouée par Leila Bekhti) avec qui il va avoir un petit Mouchi.

lundi 2 novembre 2015

La ligne SNCF Vienne Lyon: cauchemar garanti !

Ceci n'est pas une enquête.... car on ne trouve pas d'interlocuteurs! Le chef de gare de Vienne (au demeurant des plus agréables et, des plus serviables) n'a pas le droit de donner d'informations.
M. Levieux (tel est son nom) m'a, gentiment, dit qu'il en parlerait à sa hiérarchie. Mais franchement, ma patience est à bout. Et attention, je suis retraitée. J'ai tout mon temps pour prendre le train, à la différence des quelques 5 000 usagers de Vienne, qui se rendent ou viennent de Lyon, tous les matins, pour travailler ou étudier. Des gens qui n'ont, précisément, pas vraiment de temps à perdre.
A la vérité, le problème est tel que je ne sais pas par quel bout le prendre.

google-site-verification: google491ec5c643ce14ed.html